L’héritage culturel doit être conservé
« … la prospérité de la vie musicale d’Oradea de cette époque-là peut être grâce au baron eveque Patachich Adam, qui est connu pour le soin de l’art et qui engage dans sa cour les meilleurs musiciens de la période. Il est donc digne de soigner et de cultiver d’un an à autre l’héritage culturel laissé chez nous… »- disait toujours l’historique de la musique, le musicologue renommé d’Oradea, Thurzó Sándor.
L’idée de démarrer le festival a préoccupé le renommé musicien déjà avant que celui-ci se réalise en 2004- mais comme dans un plan si ambitieux, les préparations ont nécessitée du travail très minutieux.
Mon grand-père a travaillé pour collecter le matériel destiné au festival plusieurs ans, parce qu’il a commencé cette collection dans une période historique si sombre, quant tout concernant le moindre de la culture, des arts respectivement les mouvements intellectuels était couvert de la masque noire du régime communiste. Dans cette période- là, malheureusement on n’a pas pus penser à quelque chose comme ça, l’homme aurait était résolu immédiatement.
La collection des œuvres
Avec le changement du régime de 1989 de la sphère des pensés on a pu avancer dans la sphère des faits, planifier, réaliser et on a commencé l’achat de plusieurs partitions, l’obtention des œuvres, maintenant dans une grande mesure et intensité qu’avant. Là bas on aurait pu démarrer le festival, mais il n’aurait pas être facile le tenir en vie pour une période longue, de présenter un répertoire varié des matériaux existent jusqu’à ce moment. Pour cela le plan a été obtenir plusieurs œuvres. Au long des années il a pu enrichir le matériel déjà existent avec plusieurs autres précieux, mais Thurzó Sándor n’a pas démarré encore le festival, parce qu’il a désiré lier le premier festival d’une date importante de notre histoire locale : le mémorable 1964.
Finalement le festival a été démarré en octobre 2004, en ayant en vue plusieurs points de vue : d’une part, parce 40 ans avant il s’est passé que les habitants d’Oradea, indépendamment de la nationalité et la religion, se sont unis et ils ont sauvé l’église de Saint Ladislau de la démolition, qui en fait a fonctionné comme Cathédrale depuis 1723 jusqu’à 1780, d’autre part, ces trois compositeurs entre 1760-1769 (il est certain que, avec deux ans d’interruption) ils ont crée des œuvres en cette ville, et ils ont développé l’activité avec laquelle ils ont contribué à l’accomplissement de la culture musicale d’Oradea au niveau européen.
Il occupe le lieu qui lui correspond
En 2009, après de décès de Thurzó Sándor, en reprenant la direction artistique du festival, le but le plus important a été que le festival qui est devenu déjà connu fortifie de plus en plus le lieu dans la vie musicale d’Europe. Il faut qu’on soit orgueilleux de ces composteurs, qui ont vécu au long des années et ils ont composé dans notre ville aimée. Il est important de conserver cet héritage spirituel riche que ces trois compositeurs nous ont laissés.
Nous sommes tous responsables, et je crois, partant de cette base nous pouvons enrichir et former de manière positive l’image musicale de la ville d’Oradea.
Je crois qu’il est important mentionner le travail ascendant de ces compositeurs. Il fout connaitre plus profondément cette période remarquable de l’histoire de la musique d’Oradea, parce qu’elle contient plusieurs choses intéressantes, que je crois que nous ne devons pas oublier.
Les sources les plus authentiques
La série actuelle d’articles je l’ai formé de la collection vaste de documents de mos grand-père, qui est pour mois la plus authentique source de matériaux. L’authenticité de la communication des données par mon grand-père est prouvé par le fait que nombreux hommes de science, des rechercher et spécialistes, des magazines importantes de spécialité, des publications, des volumes de musicologie, des morphologies du pays et de l’étrangère ont utilisé les découverts et ses classifications d’historique local. Mon désire est que le festival actuel (et aux festivals qui suivrons) apporter, avec les renommés interprètes, plus proche du public aimant de la musique l’historique du temps passé en Oradea par ces trois compositeurs.
Malheureusement, concernant celui-ci, de nos jours aussi on peut retrouver nombreuses informations « dissonantes » dans la conscience du public.
Il est important les comparer avec les faits réels des documents de constatation des faits.